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Quand la maladie frappe
31 décembre 2006

Pire qu'un bébé

Nous étions invités chez ma tante à l'occasion du Nouvel An. Arrivée tôt le 29, départ le 30 en après-midi.
Au menu, raclette le soir, et gros déjeûner de "bûcheron" le lendemain, fait sur son poële à bois.
Nous emmenions nos matelas gonflables, les sacs de couchage, et une partie des victuailles. Pour ne pas que ce soit trop asteignant en préparatifs on a fait simple, avec un minimum de linge, un minimum de besoins. On ne partait que pour 1 jour finalement.
Le Zom qui est malade quant à lui a besoin de toute la panoplie des accessoires de confort. Pyjama (pas n'importe lequel, le beau neuf reçu en cadeau, celui qui est lavé mais pas encore séché), pantoufles, bas de laine pure, chandail pour le lendemain, gros chandail de surplus en polar au cas où il ferait froid, la brosse à dent, le rasoir électrique, la couverture de polar pour couvrir ses pieds dans la voiture, le petit coussin pour mettre ses pieds dessus, sa gourde d'eau froide isolée (remplie), sa tasse de café thermos (remplie), son livre, son lecteur MP3, son oreiller de plumes, et ses médicaments.

Sortir avec un Zom malade c'est autant d'attentions et de préparatifs que de sortir avec un bébé.
En plus faut pas traîner, il doit manger à la bonne heure et il faut planifier l'arrivée à destination dans les temps.

Toi le lecteur qui a déjà eu des enfants tu sauras exactement de quoi je parle.

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